Jacob Banks / Kokoroko
Grande Halle de La Villette
La Grande salle Pierre Boulez, le Studio et la Salle de conférence (Philharmonie) sont équipés d’une antenne à haute fréquence.
Les personnes en situation de handicap visuel peuvent demander à être placées le plus près possible de la scène. Le programme de salle en format Word peut être envoyé quelques jours avant le concert, sur demande préalable.
Prêt de matériel (contre une pièce d'identité) aux différents accueils et vestiaires : fauteuils roulants, sièges-cannes, boucles magnétiques « tour de cou », jumelles, lunettes de télévision, monoculaires, loupes, casques anti-bruit.
Vous rencontrez des difficultés d'orientation ou de mobilité, un volontaire du service civique peut vous accueillir (sur rendez-vous).
Renseignements : handicap@philharmoniedeparis.fr
La nouvelle génération britannique à l’honneur, avec Jacob Banks et sa soul puissante et sensible et l’octet londonien Kokoroko, qui poursuit son ascension fulgurante avec son mélange irrésistible de jazz et d’afrobeat.
1/ Kokoroko
Le groupe londonien Kokoroko reprend les choses là où il les avait laissées en 2019, quand il fut intronisé grande révélation de l’année à la faveur d’un premier EP porté par le tube « Abusey Junction » et de concerts festifs et chaleureux, dont une prestation à Jazz à la Villette qui avait laissé rêveur sur la suite promise à l’octet. C’était sans compter sur la pandémie et une parenthèse de deux ans, que Kokoroko a occupée avec de rares titres inédits et quelques concerts. Retour aux affaires, donc, avec un premier album annoncé pour le 5 août, Could We Be More, une merveille cuivrée, témoignage humaniste et collectif d’un groupe parfaitement situé entre l’énergie de l’afrobeat et la douceur d’un jazz aux teintes soul.
2/ Jacob Banks
Pour accompagner la sortie de Lies About the War, son très attendu deuxième album, Jacob Banks remonte sur scène, où son énergie et sa sensibilité enflamment un public chaque fois plus nombreux et enthousiaste. Né au Nigéria, le chanteur emménage à Birmingham à l’âge de 13 ans, avant de bientôt se plonger dans le grand bain londonien, où il découvre le dubstep, la jungle et une culture des sound systems profondément collective et galvanisante. Sa curiosité et son peu de goût pour les frontières musicales marquent un triplé de EP puis son album Village en 2018, où soul, reggae, jazz, électro et sonorités caribéennes se mélangent. Avec Lies About the War, Jacob Banks élargit encore ses horizons musicaux et réaffirme sa vision du songwriting comme art de raconter des histoires qui transportent et fédèrent.